Oui, c’est possible. Vous pouvez lister plusieurs difficultés. Je les proposerai à votre inconscient et lui seul décidera de sa ou ses priorités. Parfois même, plusieurs problèmes viennent d’une même cause.
Vos Questions sur les séances d'hypnose Sajece
Tout dépend de l’individu et de sa difficulté. Chaque personne est unique et réagit différemment. Parfois une séance va suffire, et d’autres fois il en faudra une seconde. Il y a des problèmes qui sont plus forts et plus enracinés que d’autres et dans ce cas il faut parfois 3 séances pour en venir à bout.
Le nombre de séances reste une incertitude. Parfois, le psychisme a de bonnes raisons de prendre plus de temps. Même si parfois, le problème met du temps à se régler, dans la majorité des cas, il est facile de constater des améliorations après chacune des séances.
Plus vous serez actif dans votre démarche, plus vite vous aurez du résultat.
Non, c’est une technique qui s’apprend. Mais, il est vrai qu’à force de pratiquer en tant que praticienne en hypnose et aussi en tant que psychologue, j’ai développé une perception fine de ce qui se passe pour l’autre.
Le thérapeute en hypnose a bénéficié d’une formation et doit respecter des règles pour une bonne utilisation de cette technique. Mes connaissances et ma pratique de thérapeute vous, assurent un respect de votre personne.
En hypnose SAJECE, le praticien prend une position basse. Il vous guide mais ne vous impose rien. Cela ne ressemble pas à ce que vous avez pu observer dans des spectacles ou à la télévision.
Si cela vous rassure, vous pouvez être accompagné. Cependant, c’est une démarche personnelle, de ce fait, je pense qu’il est préférable d’y venir seul. Sachez que je ne m’y opposerais pas.
Prévenez-moi tout simplement. L’important, c’est que vous vous sentiez à l’aise, en confiance, en sécurité.
L’hypnose est un état naturel à l’être humain. C’est un état de conscience modifié que l’on peut retrouver dans notre quotidien. Par exemple, lorsque notre attention est totalement captée par un film. Tout le monde est hypnotisable.
Jusqu’à présent, toutes les personnes que j’ai rencontrées ont été en état d’hypnose. Il y a des personnes qui sont peut-être plus dans le contrôle, mais ce n’est en rien un problème c’est plutôt un élément dont je prendrai en compte dans l’accompagnement. La profondeur de cet état peut donc varier d’un individu à un autre.
Vos Questions sur les consultations de psychologie
Il existe plusieurs domaines en psychologie : la psychologie cognitive, la psychologie développementale, la psychologie du travail, la psychologie des organisations, la psychologie sociale, la psychosociologie… Le psychologue clinicien a quant à lui un diplôme de Master 2 de psychologie clinique. Il étudie et analyse le comportement humain, sa personnalité, ses relations interpersonnelles. Un psychologue clinicien spécialisée en psychopathologie est capable d’identifier les pathologies mentales.
L’usage du titre de psychologue est très réglementé. Il est réservé aux titulaires d’un Master 2, formation universitaire fondamentale et appliquée de haut niveau en psychologie préparant à la vie professionnelle [Loi n° 85-772 du 25 juillet 1985 Chapitre V Mesures relatives à la profession de psychologue Art.44 – Legifrance]. Le droit de pratiquer l’exercice requiert l’inscription sur le fichier ADELI, fichier national, contrôlé et tenu à jour par les autorités de l’Agence Régionale de Santé (ARS). Ce fichier regroupe les professionnels de la santé [Loi n°2002-303 du 4 mars 2002 – Legifrance].
Le bouche à oreille est souvent utilisé. Il est généralement une bonne indication mais il ne faudrait pas penser que ce qui convient à votre amie, votre mère, votre collègue de travail va automatiquement vous convenir. Chaque rencontre est singulière. Vous pouvez aussi vous renseignez auprès de votre médecin traitant. Les psychologues sont de plus en plus nombreux à avoir un site qui explique de façon plus ou moins détaillée leur parcours de formation et leur parcours professionnel, ainsi que leurs pratiques. Les pages jaunes sont un autre moyen de recherche.
L’important est l’expérience du psychologue. Certains sont spécialisés sur des thématiques (trauma, thérapie familiale, accompagnement des parents) ou des âges de la vie (enfant-adolescent, adulte, personnes âgées).
La confiance envers le thérapeute est capitale. Le psychologue explique le cadre thérapeutique (son type d’intervention, le tarif, la fréquence, la durée d’une séance…) C’est un cadre qui peut évoluer au fil du temps (la fréquence des rendez-vous). C’est une base importante de l’alliance thérapeutique. Une bonne alliance va contribuer à un fort sentiment de confiance et généralement à une thérapie « réussie ».
Lorsqu’il vous semble difficile de surmonter une difficulté seule, quand l’entourage ne suffit pas à aller mieux, que quelque chose vous freine ou vous pèse… De nombreux motifs existent pour consulter un psychologue : du stress, des angoisses, un mal-être, une maladie, une rupture, un deuil, un manque de confiance en soi, des troubles du comportement alimentaires, des addictions, des difficultés dans la gestion des émotions, des troubles du sommeil, devenir parent (…) Le psychologue peut vous aider à y voir plus clair dans vos difficultés.
Il a longtemps été pensé que les psys s’étaient pour les fous. Pourtant entreprendre volontairement une démarche psychologique est un acte plutôt contraire à la folie. Elle est signe d’une conscience de sa situation et d’un désir d’aller mieux.
Il n’est pas nécessaire d’être à un niveau extrême de mal-être pour consulter un psychologue. J’entends parfois « Lui, il a plus besoin que moi », en êtes-vous sure ? Prenez soin de vous en écoutant ce qui est à la source de votre douleur et laisser le professionnel évaluer et vous aider. Les consultations sont ouvertes à tous. Il suffit juste d’en ressentir le besoin ou le désir. Il est conseillé de ne pas laisser le mal-être s’installer.
Elle vise à soulager un mal-être psychologique. Le psychothérapeute écoute et aide la personne a mieux comprendre la situation et son fonctionnement par rapport à cette situation. Ce n’est pas une conversation, comme avec une copine. Le psychologue et son patient visent des objectifs de mieux-être et de changement.
Le psychologue évalue la situation (nature, facteurs déclenchant et entretenant), et aussi vos besoins et vos objectifs. Cette phase d’évaluation peut parfois prendre plusieurs séances. Le psychologue pose un certain nombre de questions. Le patient aussi peut poser des questions au psychologue sur le cadre thérapeutique (déroulement de la thérapie, organisation, objectifs).
La durée d’une séance : Il existe différentes formules. Je propose des consultations psychologiques de 45 minutes. Pour le soutien à la parentalité, je compte 45 minutes pour le premier rendez-vous et 30 minutes pour les rendez-vous suivants.
La durée d’une psychothérapie est variable. Elle peut être brève ou longue. Elle peut concerner un problème ponctuel ou chronique. Vous restez libre de poursuivre ou d’arrêter un accompagnement.
La fréquence des consultations dépend du thérapeute, de sa disponibilité, de ses habitudes de pratiques, des techniques qu’il utilise. Me concernant cela peut varier d’une fois par semaine, tous les 15 jours, une fois par mois et même parfois une fois tous les 2 mois. Cette fréquence dépend surtout du patient, de sa problématique, de sa disponibilité. La fréquence se réajuste au fil de la thérapie.
Elles ne sont pas prises en charge par la sécurité sociale. Certaines mutuelles remboursent une partie ou une totalité du suivi. Il est conseillé de vous renseignez auprès de votre mutuelle pour connaître les modalités. Dans le cas d’un remboursement, il vous faudra me demander une facture.
Je demande à ce que la séance soit annulée 48 heures à l’avance. Un empêchement ponctuel peut se produire, c’est pour cela que je propose de replacer la séance à une date ultérieure. Je ne procède pas au remboursement. Si les reports sont trop nombreux, il me semble important de vous questionner sur ce que vous souhaitez. Avez-vous vraiment envie d’aller mieux. M’engageant moi-même dans votre accompagnement, j’attends de l’engagement de votre part. N’oubliez pas : vous êtes le conducteur de votre vie. Aussi, le psychologue a des charges financières, pour vivre et perdurer il ne peut pas se permettre d’accepter de multiples annulations. Merci pour votre compréhension.
Il n’y a pas besoin de prescription médicale. Cependant, il peut être bien de discuter de vos symptômes avec votre médecin.
Le secret professionnel
Le secret professionnel a pour objectif de préserver la confiance d’un client/patient envers son psychologue et envers l’ensemble de la profession. Il protège trois valeurs : Les intérêts de la personne (le respect de sa vie privée) ; Les intérêts de la profession (afin que les psychologues puissent mener à bien leur mission) ; L’intérêt public et social.
Il y a trois situations où le secret professionnel peut être levé :
- le psychologue poursuivi en justice ou devant le conseil disciplinaire : il doit pouvoir se défendre face à des accusions. Il peut exprimer ce qui est utile, y compris les informations habituellement secrètes.
- le témoignage en justice ou devant une commission d’enquête parlementaire.
- l’état de nécessité : le risque pour autrui est grave, imminent et certain. Le professionnel doit préserver cette personne du danger. Ce danger doit être supérieur ou égal à l’intérêt sacrifié (actualisation de l’article 458 bis du Code Pénal en 2011). Le psychologue estime qu’une infraction a été commise sur un mineur ou sur une personne vulnérable ; ou qu’un danger grave et imminent existe pour l’intégrité physique et mentale de ces personnes et qu’il n’est pas en mesure seul ou avec l’aide d’un tiers de protéger cette intégrité.
Le psychologue a la responsabilité d’estimer le danger. Il peut parler de ses inquiétudes avec un superviseur ou solliciter ses confrères.
Concernant les informations à révéler, il doit se limiter à ce qui est nécessaire pour mettre fin à la situation de danger.
Dans des situations exceptionnelles concernant des personnes vulnérables ou en danger, le psychologue doit faire recours au procureur.
Le secret professionnel partagé
Selon l’article 14 du code de déontologie du psychologue : « Le psychologue peut, sous sa responsabilité, partager des données confidentielles en sa possession en vue d’optimiser l’efficacité de son travail. A cet effet, il applique les règles habituelles cumulatives quant au secret partagé : information préalable, accord du maître du secret, dans le seul intérêt de celui-ci, limité à ce qui est strictement indispensable, uniquement avec des personnes soumises au secret professionnel œuvrant dans le cadre d’une même mission. »
Le consentement du client/patient est donc nécessaire avant de communiquer certaines informations. Les acteurs occupent différentes professions et ne sont pas tous soumis au secret professionnel.
Le psychologue n’est pas juste en train d’écouter. Pendant qu’il vous écoute, il se passe pleins d’autres choses pour lui (observation, reformulation, lien entre la théorie et la pratique, lien avec d’autre expériences connues, choix d’utiliser certains outils à un moment précis) son écoute est dite « active ». Le psychologue vous laisse une place nécessaire pour parler et il intervient à des moments opportuns. Il saura mettre la lumière sur les points importants.
Le psychologue a fait 5 ans ou 6 ans d’études après le baccalauréat. La majorité d’entre eux font régulièrement des formations continues. Il doit financer une supervision en individuel ou en groupe pour assurer de sa bonne pratique et ne pas être lui-même en difficulté. Puis, lui aussi rencontre un psychothérapeute pour être au clair sur sa propre histoire. Il doit prendre soin de sa santé mentale pour vous recevoir. Plus il aura travaillé sur lui-même, mieux et plus loin il pourra accompagner ses patients. Le psychologue investi aussi dans des livres et des outils pour mieux vous accompagner. Et pour terminer, il devra s’octroyer des moments de bien-être et de joie pour vous accompagner dans et vers cette belle énergie.
Non, ce sont les médecins qui pourront vous en prescrire (psychiatre, médecin généraliste). Le psychologue n’est pas un médecin. La psychothérapie peut venir en complément d’un traitement médicamenteux. Elle est même conseillée pour pouvoir traiter le fond de votre problème. La psychothérapie a pour but de vous sentir mieux et dans la majorité des situations, de pouvoir dans un second temps vous passer d’antidépresseurs ou d’anxiolytiques (avec l’accord du médecin).
Le psychologue travaille beaucoup avec ce qu’il est, donc sa personnalité intervient beaucoup. Comme dans toutes relations humaines, parfois le « feeling » passe très bien, d’autres fois moins. Cela ne veut pas dire que le psychologue est « mauvais » mais cela vient dire qu’il ne vous convient pas et qu’il peut être bien de trouver une autre personne avec qui l’alliance thérapeutique sera meilleure. Vous êtes le client, c’est vous qui choisissez de poursuivre ou non. Parfois, le fait que la relation ne passe pas bien, vient dire quelque chose sur votre manière d’être en relation avec certaines personnes ou avec une personne précise de votre entourage proche. C’est ce que l’on appelle le transfert. Il peut être positif ou négatif. Pour qu’une thérapie fonctionne, il est important que cette relation transférentielle soit positive. Peut-être aussi, s’agit-il de la technique du psychothérapeute qui ne vous convient pas.
Il est important de repérer les personnes ressources de votre entourage. Votre meilleure amie, bien qu’elle peut avoir une écoute de qualité, n’est pas psychologue. Elle manquera de neutralité, aura peur de vous vexer, n’aura pas envie de vous faire pleurer…et vous pourrez vous sentir redevable de cette écoute ou craindre de trop vous dévoiler ou de trop lui faire porter votre souffrance. Le psychologue quant à lui est formé et payé pour vous apporter cette écoute spécifique et professionnelle.
Parlez-lui de vos inquiétudes, de vos limites personnelles (la place de confidente est une place honorable mais qui parfois peut être lourde à tenir), tout en lui signifiant qu’il est important pour vous et qu’il a de la valeur. Vous pouvez lui montrer mon site, le regarder ensemble ou l’inviter à le faire quand il sera seul chez lui au calme.
Certainement pas. A tout âge, on a le droit au bonheur. A tout âge, on peut rencontrer des difficultés. Prendre soin de soi psychiquement est facteur de maintien de votre bonne santé. Votre histoire sera peut-être juste plus longue à raconter que celle d’un adolescent de 17 ans. A tout âge, on peut vouloir travailler sur sa vie présente ou passée. Vous êtes les bienvenues même après 60 ans ! La retraite est d’ailleurs parfois un passage qui nécessite un temps d’ajustement.
Vos Questions sur le soutien à la parentalité
Il peut vous aider dans les grands moments de votre vie de parents (naissance d’un enfant, séparation, grossesse difficile, déménagement, annonce d’une maladie d’un enfant, annonce de votre maladie ou celle de votre conjoint, perte d’un proche, départ du foyer de votre grand enfant…)
Et vous aider dans des moments plus quotidiens : la relation à votre enfant, les pleurs de votre bébé, les disputes entre frères et sœurs, une fatigue parentale, des divergences de vision d’éducation dans le couple parental, des difficultés dans la scolarité de votre enfant, poser des limites à votre enfant (notamment avec les écrans) les colères de votre enfant, des questions sur le développement affectif, cognitif et social de votre enfant (langage, motricité, propreté, sommeil, alimentation, Haut potentiel, dys, troubles de l’attention, troubles de l’hyperactivité…)
Cela peut aussi concerner la question suivante : Comment concilier vie familiale et vie professionnelle ?
Puis des interrogations plus larges : « Je n’arrive pas à prendre ma place de parent, je doute de moi, je n’ai pas assez d’autorité ou j’en ai trop, je crie souvent… »
« Guidance » c’est celui qui guide, celui qui sait vers celui qui ignore. Or, me concernant, les parents savent et ont des compétences. Ils ont surtout besoin de soutien, parfois de conseils aussi pour percevoir différemment la situation (avec un autre angle de vue, avec du recul) et les aider à mettre en place ce qu’ils peuvent faire. C’est vous qui vivez votre situation
Je suis une psychothérapeute qui accompagne. Le soutien est une aide pour porter ensemble durant un moment ce qui est trop lourd à porter pour vous tout(e) seul(e), en visant l’objectif que vous puissiez par la suite le faire vous-même sans pénibilité.
S’il y a de la guidance de ma part à certains moments, elle sera semi-directive, voire libre, car vous êtes le créateur de votre vie et des changements qui en découlent.
La première séance est plus longue pour vous permettre de déplier la situation. Les suivantes permettront de répondre à une demande précise, ou une demande parfois urgente et de faire le point sur l’évolution de la situation. Parfois, elle permet principalement de faire baisser la pression, de retrouver du calme pour mieux penser et agir.
Elles peuvent être ponctuelles ou s’intégrer dans un accompagnement plus régulier. Il s’agit de votre décision. Je vous donnerai mon avis sur ce qui me semble le plus adapté dans votre cas.
C’est à vous de voir. Pour un premier entretien, je n’impose rien. Parfois un parent se sent plus en demande que l’autre. Parfois un parent s’inquiète plus que l’autre. Parfois un parent perçoit mieux les difficultés que l’autre. Cela parle de votre place et non de la place de l’autre.
Cependant, par la suite si cela a du sens, je peux faire la demande de vous rencontrer père et mère ensemble.
C’est vous qui faites la demande, donc vous pouvez consulter seul et sans en former préalablement l’autre parent.
Dans certains cas, les parents séparés souhaitent se réunir pour parler de leur(s) enfant(s).
S’il est nécessaire de rencontrer les deux parents. Je proposerai principalement de voir les parents séparément. Dans ce cas, c’est le parent rencontré (le demandeur) qui contacte et informe le second du suivi. Si celui-ci est d’accord pour la même démarche, il prend contact avec le psychologue.
Voir les deux parents signifie que le père et la mère sont porteuses de la demande d’aide et du financement de cette aide. Parfois, un seul parent fait la démarche, cela nécessite donc une discussion entre vous.
Il n’y a pas une bonne ou une mauvaise façon de faire, tout dépend de ce que contient votre demande. Si la demande consiste à ce que votre enfant se sente mieux chez vous, alors cela ne nécessite pas de rencontrer l’autre parent. Par contre, si la demande est que votre enfant se sente mieux chez l’autre parent, il sera préférable de faire intervenir le second parent. Mais encore une fois, chaque situation est unique et nécessite d’en discuter. Il y aussi des situations où l’on peut craindre que son enfant soit en difficulté, voire en danger chez l’autre parent. Il est important de bien expliquer la situation (de votre point de vue) et de me dire si les questions administratives et judiciaires sont en cours ou réglées.
Si un autre type de consultation est mieux adapté, je saurai vous en informer.
Oui, cela peut avoir du sens. Vous pouvez en parler avec le thérapeute de votre enfant.
Il est plus efficace de travailler des deux côtés notamment pour de jeunes enfants de moins de 8 ans. Ils sont de vraies éponges de vos propres émotions. Aussi, vous pouvez ressentir le besoin d’être accompagné quant aux difficultés de votre enfant.
Bien sûr dans un tel cas, il me semble important que je fasse du lien avec le thérapeute de votre enfant, avec votre autorisation. Cela permet d’avoir une meilleure conscience de la situation globale de la famille et de la relation entre vous et votre enfant. Cela permet également de se faire une idée plus précise d’où vous en êtes car nous démarrons toujours de ce point-là. Ainsi les thérapeutes se coordonnent : qui travaillent quoi et comment ? Une telle collaboration permet de gagner en efficacité.
Dans un premier temps, non car le premier demandeur c’est vous. Cependant, après un premier entretien, je peux vous proposer de vous rencontrer avec votre bébé, votre enfant, votre adolescent. Dans ce cas, nous devrons prendre en compte les limites de la visioconsultation avec les jeunes enfants